La Ville du Chaos
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 Daiki (enfin fini)

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3 participants
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Daiki

Daiki


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Date d'inscription : 30/01/2011
Age : 29

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MessageSujet: Daiki (enfin fini)   Daiki (enfin fini) Icon_minitimeMar 1 Fév - 23:23

|Identification.|

Prénom.
Daiki
Surnom. Dai… Mais il y a bien longtemps que personne ne l’a appelé ainsi
Âge. 16 ans
Race. Mutant

|Reconnaissance.|

Physique.
De taille moyenne, il aurait un physique tout ce qu’il y a de plus banal...si ce n’était de la longue chevelure violette allant dans tous les sens qui lui atteint les épaules. Un « détail » qui le rend immédiatement reconnaissable et qu’il dissimule la plupart du temps par le large capuchon de sa veste noire. Inutile de tenter le diable en se faisant trop remarquer. Ses yeux oscillent entre le bleu et le violet, mais pas de façon assez marquante pour attirer l’attention. Ils expriment le plus souvent la méfiance, chose bien normal dans un monde où il ne peut plus faire confiance à qui que ce soit, mais jamais encore la soif de sang n’est venu les assombrir. Au contraire, dans les rares cas où il avait pu relâcher un peu sa vigilance excessive, mais justifiée, il avait cette douceur dans le regard qui étonnait toujours au milieu de ce décor apocalyptique. Sa mutation a également accentué le côté pénétrant de ses yeux, si bien qu’il semble souvent transpercer les gens du regard. Son visage aux traits fins ne se démarque que par sa peau plus pâle que la moyenne, mais tout de même pas au point de ressembler à un vampire et les cernes sombres que de trop nombreuses nuits passées sur ses gardes dans des endroits peu sûrs ont dessinées sous ses yeux. Plutôt frêle de stature même pour un être humain, ses muscles sont davantage taillés pour la rapidité et la précision que pour la force brute. Les nombreuses cicatrices plus ou moins profondes cachées sous sa veste noire et ses pantalons sont autant de preuves qu’il n’a pas eu la vie facile. Ses vêtements et ses chaussures sont salis, usés et même déchirés par endroit, mais il ne s’en préoccupe plus depuis longtemps. Sa peau est froide comme la neige au contact, surtout au niveau de ses mains. Malgré ses gants, il est très facile de le sentir. Deux lames dépareillées relativement courtes pendent à sa ceinture et un sac à dos contenant toutes ses maigres possessions l'accompagne toujours.

Caractère.
Prudent et calme de nature, il fait de son mieux pour passer inaperçu et y arrive généralement assez facilement. Il a généralement bon caractère et il ne s'entête que sur des choses bien spécifiques, qui semblent bien souvent sans importance pour les autres. Bien qu'il ne le réalise pas encore, il a une force d'esprit hors du commun ainsi qu'un tempérament très protecteur envers ceux à qui il tient. Simplement, il n'y a pour l'instant rien qui compte assez pour lui pour faire ressortir ce côté de sa personnalité. Se battre uniquement pour lui-même, pour sa propre vie, étrangement, lui est beaucoup plus difficile que de se battre pour aider quelqu'un par exemple. La motivation enflammée qui permet de passer à travers tout, il ne la trouve jamais dans ces cas-là, sûrement parce qu'il a très peu d'estime pour lui-même. Il serait sans doute déjà mort à l'heure qu'il est si ce n'était de ce serrement au coeur suivi d'un sentiment profond de "Moi, je n'ai pas envie de mourir!" qui surgissait dans ces instants-là. Apparament l'esprit qui l'avait fait muté pensait différemment. Il y a d'ailleurs étonnament peu d'interventions de l'esprit qui le possède dans sa vie et, la plupart du temps, il réprime sans pitié la moindre pensée, le moindre sentiment qui ne semble pas venir de lui, Daiki. Il a vu des mutants perdre la tête, succomber à la soif de sang et devenir des monstres. Il ne tomberait pas dans ce piège-là, il se l'était juré. Jusque là, son esprit fort lui a permis de garder la presque totalité de sa personnalité humaine. Il est méfiant à l'extrême, voire paranoïaque par moment, alors il ne relâche à peu près jamais sa garde, même s'il n'attaque jamais sans justification non plus. Il n'a jamais été un garçon violent et, en dépit de tout, ça n'a pas changé. Sa personnalité généralement effacée est un trait de caractère bien plus profond qu'un simple instinct de survie. En effet, il est timide au dernier degré depuis pratiquement toujours et ses longues années en solitaire n'ont rien fait pour améliorer sa sociabilité. Il a trop souvent tendance à se blamer pour tout, même des choses qui ne sont pas vraiment sa faute. Même s'il s'inquiète toujours trop et prévoit sans cesse le pire, il garde en lui l'espoir que cette ville connaisse des jours meilleurs. Il essaie d'ailleurs de se convaincre que chaque fois qu'il sauve quelqu'un il fait un peu sa part, à sa façon. Il est curieux à ses heures et a toujours aimé lire et apprendre, même s'il a de moins en moins l'occasion de le faire. Par conséquence, il possède des connaissances parfois un peu spéciales, mais qui peuvent se révéler utile. Il se laisse trop facilement dépasser par ses émotions et manque cruellement de confiance en lui-même.

|Passé|

Histoire.
Depuis aussi longtemps qu'il se souvienne, Daiki a vécu dans ce monde de chaos et de mutants. Il ignore tout de la vie qu'il a eu avant ces évènements car il était encore bien trop jeune pour s'en rappeller. Sans doute un vie sans histoire... Ses premiers souvenirs se situent à l'étrange croisement entre le camp de réfugiés et la forteresse militaire qui fut le seul endroit qu'il ait jamais considéré comme "chez lui". Plongé dans l'agitation frénétique constante de ces gens qui ne voulaient que protéger leurs vies et celles de leurs familles, il fut malgré tout gardé relativement à l'abri des horreurs des combats durant son jeune âge. Il savait qu'ils faisaient rage, avec tous ces gens qui ne revenaient jamais, mais n'y était pas impliqué directement. Enfin, excepté l'entraînement au combat qu'il subissait chaque jour avec tous les autres garçons du camp. Cependant, contrairement aux autres, il n'arrivait pas à mettre de l'ardeur à la tâche. L'idée de se battre contre des mutants, contre qui que se soit d'ailleurs, ne l'enchantait guère. La violence ne faisait simplement pas partie de sa nature et son côté rationnel le poussait davantage à se demander s'il n'existerait pas une autre solution à toute cette histoire. Bien sûr, il gardait toutes ces pensées pour lui. Même à cet âge, il était déjà assez perspicace pour savoir qu'exprimer ce genre d'opinion ne ferait que lui attirer des ennuis. Après tout, les mutants étaient l'ennemi pour eux, quiconque osait prendre leur défense ne pouvait être qu'un traitre. Mais il avait toujours été encouragé à penser par lui-même et à se faire ses propres idées alors leur attitude n'a jamais déteint sur lui.

D'un naturel introverti et timide, il se sentait tellement différent des autres enfants de son âge qu'il n'a jamais tissé de liens avec aucun d'entre eux. Les quelques tentatives hésitantes qu'il ait jamais osé faire n'ayant donné aucun résultat, il s'est bien vite habitué à être seul. Très curieux, il a trouvé dans la lecture le refuge idéal. En effet, les livres en état d'être lus étaient bien moins rares qu'on aurait pu le croire. Sans doute parce que, lui mis à part. personne ne s'intéressait à ce genre de choses dans un climat pareil, même pour les détruire. Évidemment, ce ne fit rien pour accroître sa popularité et les autres jeunes, plus particulièrement des garçons, lui firent bien savoir ce qu'ils pensaient d'un "faible" dans son genre. Il tenta maladroitement de se défendre au début, mais finit par se résigner puisque résister semblait ne servir à rien de toute façon. Il endura tout en silence pendant des années, sa force d'esprit lui permettant de ne jamais rien laisser parraître, même s'il aurait sans aucun doute mieux valu qu'il s'en serve pour leur tenir tête. Puis, il vacilla un bref instant et fit ce qu'il n'aurait jamais du faire: à force de se faire répéter qu'il était faible, bon à rien et inutile, il finit par le croire. Le peu d'aplomb qu'il ait jamais eu s'est totalement dissout à ce moment et il n'a plus aspiré qu'à se faire oublier, plus seul que jamais. C'est à ce moment, abattu comme il l'était, que son père lui dit une phrase, pourtant bien anodine, qu'il n'oublia jamais. "Tu sais, les gens ont souvent tendance à oublier que le savoir aussi peut être une arme... Et une arme bien redoutable si elle est bien utilisée." Il ne se souvenait même plus du contexte, mais ce n'était pas important de toute façon. L'important, c'était que tout ce qu'il faisait n'était peut-être pas une vaine perte de temps. C'est sans doute seulement grâce à cet espoir enfantin et un peu naïf à vrai dire, qu'il put continuer exactement comme il l'avait toujours fait.

L'autre évènement important de cette période se déroula alors qu'il avait environ sept ans (les anniversaires passaient assez inaperçu dans cette atmosphère). Le campement fut pris d'assaut par un petit groupe de mutants assoiffés de sang. Heureusement, leur faible nombre et leur désorganisation la plus totale permit de les abattre avant qu'il ne massacrent tout le monde. Un bon nombre d'entre eux périrent tout de même cette nuit-là et les survivants se hâtèrent de changer d'endroit. Il fallait s'établir ailleur, cet endroit n'était plus du tout sûr. De plus, l'odeur du sang et des cadavres n'aurait fait qu'attirer bon nombre de visiteurs non-désirés. Par une chance incroyable, il s'en est sorti indemne. Alors qu'ils s'installaient dans leur nouveau refuge, pour le temps qu'il durerait, sa mère entreprit de lui faire entendre raison. En effet, elle était la seul à savoir ses doutes sur la vraie nature des "monstres", comme ils les appelaient souvent. Elle lui dit que le seul moyen d'éviter les carnages comme celui qui venait de se produire, c'était de se battre pour ne jamais laisser la chance aux mutants de blesser qui que ce soit.

-Donc, si je vois un mutant, même s'il ne me veut pas de mal, je devrai le...

Sa voix vacilla, toujours incapable de prononcer le mot fatidique et sa mère lui répondit aussitôt.

-Tu dois bien comprendre qu'il est impossible de faire confiance à ces créatures. Regarde ce qui s'est passé, combien d'entre nous sont morts! Si un mutant s'approche d'ici, il doit mourir. C'est simplement comme ça.

Ses mots tranchants et sans appel restèrent eux aussi très profondément gravés dans son esprit. Même un an plus tard, ils restaient toujours aussi brûlant. Quand il commença à se sentir mal, il camoufla le tout et fit comme si de rien n'était, persuadé que tout finirait bien par rentrer dans l'ordre. Après une semaine, il dut admettre que ça devenait de pire en pire. La température pouvait à peine être considérée comme douce, pourtant il avait l'impression qu'il faisait une chaleur étouffante. S'il passait trop de temps au soleil, surtout durant les heures les plus chaudes de la journée, il avait littéralement l'impression de fondre comme...comme la neige en fait. Il s'obstinait encore a nier l'évidence alors même qu'il pâlissait à vue d'oeil chaque jour. Il se persuadait qu'il avait toujours été un peu blême et qu'il était malade, alors c'était bien normal. Par contre, quand il remarqua la première pointe de violet dans ses cheveux sombres, il ne put plus se voiler la face. Il était en train de muter et il ne pouvait rien y faire. Une crainte atroce et glacée le saisit alors que, dans la panique la plus totale, il se demandait quoi faire. Les mots de sa mère, ainsi que ceux de tout le monde sur les mutants lui résonnèrent dans les oreilles et il sut qu'il n'avait pas le choix. Il était lui aussi en train de devenir un monstre, alors rester là serait signer son arrêt de mort. Il devait partir. Il savait bien que le monde serait cruel et qu'il n'y survivrait sans doute pas longtemps, mais c'était toujours mieux que de se faire exécuter sur le champ.

À la tombée de la nuit, il mit son plan à exécution. Silencieux comme une ombre, il sortit de chez lui sans même un dernier regard à ses parents. Sa résolution à s'enfuir lui semblait si fragile qu'il avait peur de tout laisser tomber s'il s'attardait trop à contempler ce qu'il laissait derrière. Il ne se faisait aucune illusion. Ses parents avaient peut-être ignorés tous les changements chez lui et fermé les yeux pour l'instant mais, lorsqu'ils ne pourraient plus nier l'évidence... Non, il devait s'enfuir pendant qu'il le pouvait encore. Mettant quelques affaires et quelques provisions dans un sac à dos, il allait quitter les lieux pour de bon, quand un bâtiment attira son attention. Il avait l'apparence d'un simple cabanon, mais Daiki savait ce qu'il contenait: des armes. Il ouvrit la porte sans faire de bruit et y jetta un coup d'oeil. Il abandonna vite l'idée de prendre une arme à feu. Ça attirait trop l'attention et de toute façon il n'avait jamais été très habile avec les fusils. Après un instant de réflexion, il arrêta son choix sur une lame assez courte et assez légère pour être maniée très aisément. Pour lui, qui ne cherchait que quelque chose pour se défendre, c'était l'idéal. Il l'accrocha dans son fourreau à sa ceinture puis il s'en alla finalement.

Les premiers jours, il ne faisait qu'avancer sans savoir où il allait. L'angoisse de se retrouver livré à lui-même, dans un monde où il n'avait plus d'alliés, brouillait ses pensées et l'empêchait de réfléchir convenablement. Avec le recul, il s'étonnait encore qu'il ne lui soit rien arrivé pendant ces jours-là. Il devait pourtant être une proie facile. Réalisant qu'il devait se reprendre en main s'il ne voulait pas mourir, il s'arrêta et se força à analyser sa situation et à penser avec logique. C'était son seul moyen de ne pas cèder à la panique. Il repèra une curieuse ombre qui se profilait au loin et laissait deviner que quelque chose se trouvait là-bas. N'ayant de toute façon aucun but précis, il choisit d'avancer vers ce qui s'avèra être une ville. Se disant qu'il serait peut-être plus facile de survivre là, il entra dans la ville et commença sa périlleuse nouvelle vie.

Il s'affaira alors à tenter de comprendre sa mutation qui se poursuivait toujours pour savoir à quoi s'attendre. Il nota tous les changements qu'il avait pu observer chez lui jusqu'à maintenant, (pâlissement, yeux et cheveux qui changeaient de couleur, difficulté à supporter la chaleur et le soleil trop intense...), et tenta de trouver dans les rares informations fiables qu'il avait sur les mutants ce à quoi ça pouvait correspondre. Il commença légèrement à paniquer lorsqu'il réalisa que ça se rapprochait drôlement de ce qu'il savait des vampires. Toutefois, alors qu'il surveillait ses canines avec une certaine anxiété, elles ne s'allongèrent pas alors que sa mutation se poursuivait, alors il abandonna cette idée avec un soulagement certain. Il ne se voyait définitivement pas en train de boire le sang des gens. Par contre, alors que sa mutation s'achevait, il ignorait toujours tout de ce qu'il était devenu. Il savait que quelque chose d'autre venait de fusionner avec lui et il s'inquiétait beaucoup à l'idée de devenir assoifé de sang, de perdre qui il était. Heureusement, ce n'est toujours jamais arrivé.

Il découvrit son pouvoir élémentaire en plein combat. Alors qu'il était sorti chercher quelque chose à manger, un homme l'avait vu avait facilement deviné qu'il était un mutant étant donné qu'il ne cachait pas encore ses cheveux violets. Le temps qu'il réalise dans quelle situation il était, c'était déjà trop tard. L'homme l'avait plaqué au mur avec rudesse et, voyant un poignard de belle facture, sûrement acheté ou plus probablement volé dans une boutique médiévale, Daiki crut bien qu'il allait mourir. Mais le choc et la douleur qu'il attendait ne vint jamais. À la place, une curieuse sensation de froid. Intrigué, il ouvrit les yeux pour voir ce qui se passait et se figea de surprise. Un mur de glace s'était mystérieusement dressé entre lui et son assaillant et emprisonnait maintenant le poignard que ce dernier avait tenté de lui planter dans le coeur. C'était donc ça. Il était devenu un élémentaire maniant la glace. Ça expliquait toutes les mutations qu'il avait subies et il ne pouvait s'empêcher de trouver ça bizarrement rassurant, autant parce que il savait enfin à quoi s'attendre que parce que ça lui donnait une bien meilleure chance de se défendre en cas de combat. D'ailleurs, alors qu'il reportait son regard sur lui, son assaillant, qui avait désormais le visage déformé par la panique, n'avait plus rien de menaçant. Il déguerpit à toutes jambes, abandonnant son poignard derrière lui, sous le regard impassible de Daiki. L'idée de l'achever ne lui effleura même pas l'esprit. Il n'aimait pas plus la violence qu'avant et, à ses yeux, le comportement de cet homme à son égard était tout ce qu'il y avait de plus normal étant donné ce qu'il était. C'était un peu triste, mais pour lui c'était vraiment normal. Il ramassa l'arme abandonnée, toujours plantée dans la glace, et l'envoya rejoindre son autre à sa ceinture. C'est à partir de ce moment, pour éviter de provoquer d'autres situations de ce genre dans la mesure du possible, qu'il commença à cacher ses cheveux dans son capuchon. Pour le reste, puisqu'il avait l'air humain, il laissait toujours les gens dans le doute ce qui faisait qu'ils hésitaient souvent avant de l'attaquer. Enfin, excepté ceux qui tuent sans distinction évidemment, mais dans l'ensemble ça lui a tout de même évité bien des ennuis.

Durant les années qui suivirent, il s'adapta tant bien que mal à la vie dans cette ville. Il n'a jamais rejoint de camps pour la simple raison que personne ne s'est jamais intéressé à lui de toute façon. Il change d'endroit aussitôt qu'il ne s'y sent plus en sécurité et se méfie de tous et de chacun. Par contre, il n'attaque que lorsqu'il n'a pas le choix et n'a encore jamais tué un adversaire. Il est bien trop conscient de la présence de cet autre être en lui, même si pour l'instant il ne se manifeste très peu, alors il craint que le jour où il commencera à tuer, il ne puisse plus s'arrêter. Même s'il essaie habituellement d'éviter les ennuis, il lui arrive parfois de venir en aide à des humains ou des mutants en danger, mais sans jamais se montrer. Tant qu'il restera capable de se porter à la défense de ceux qui en ont besoin, ça signifiera qu'il n'est pas encore corrompu, du moins c'est ainsi qu'il se justifie. Ses pouvoirs de télépathe se sont développés plus tardivement, ce qui fait qu'il est encore loin de les maîtriser parfaitement. Désormais âgé de seize ans, cela fait huit ans qu'il vit dans la solitude la plus complète et il ne peut s'empêcher, en dépit de sa méfiance envers le monde, d'espérer croiser la route de quelqu'un qui lui permettra de vivre plutôt que de simplement survivre...

Mutations. Ses cheveux ont passé du brun foncé à une étrange couleur violette, sa peau a pâli et ses yeux également, passant d'un brun presque noir à un bleu glacier teinté de violet. Sa peau est également beaucoup plus froide qu'auparavant. En fait, c'est littéralement la température de son corps qui a chuté. Ce n'est pas sans lien avec le premier pouvoir qui s'est manifesté chez lui, ainsi que celui qu'il maîtrise le mieux: le contrôle du froid et de la glace. Il peut abaisser la température autour de lui facilement et ainsi congeler n'importe quoi qui se trouve suffisament près de lui. Il utilise surtout ce pouvoir pour créer de la glace, à partir de l'eau ou même simplement de l'humidité présente dans l'air. Il supporte aussi incroyablement bien le froid, mais est très sensible à la chaleur. Il est aussi télépathe, même s'il maîtrise moins ce pouvoir que l'autre. Il peut assez bien fermer son esprit aux intrusions et communiquer avec quelqu'un par la pensée s'il a un contact visuel avec elle. Il peut aussi capter des bribes des pensées des autres, mais seulement s'ils n'ont aucun pouvoir pour fermer leur esprit. Cette partie de ses pouvoirs est encore un peu involontaire, alors il peut arriver qu'il entende un peu les pensées de quelqu'un sans le vouloir... Tout comme il lui arrive d'échouer sans raison apparente, surtout quand il panique.

Quand avez-vous muté? Il y a 8 ans maintenant

|Derrière l'ordinateur.|


Prénom. Élisabeth
Âge. 16 ans
Comment avez-vous connu le forum? Par une membre (Isa XD)
Comment trouvez-vous le forum?
Super, j'ai hâte de commencer ^^
Niveau d'écriture.Pas si mal je crois, vous pourrez en juger par vous-même
Présence. Quotidienne sans problème Razz


Dernière édition par Daiki le Lun 21 Fév - 20:34, édité 27 fois
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Iliya
Mutant
Iliya


Messages : 871
Date d'inscription : 16/08/2008
Age : 29
Localisation : Ailleurs.

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MessageSujet: Re: Daiki (enfin fini)   Daiki (enfin fini) Icon_minitimeMer 2 Fév - 23:18

Tout d'abord bienvenue.
Simplement t'informer que ton topique avait été posté dans la section "Fiche validée" et que je l'ai déplacé. Je vais t'envoyer un Mp au cas ou, pour être certaine que tu n'ais pas à rechercher ta fiche. ^^

J'attends donc la suite avec impatience ^^
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Daiki

Daiki


Messages : 26
Date d'inscription : 30/01/2011
Age : 29

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MessageSujet: Re: Daiki (enfin fini)   Daiki (enfin fini) Icon_minitimeLun 21 Fév - 20:32

Bon et bien c'est juste pour dire que j'ai (finalement) terminé ma présentation.
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Iliya
Mutant
Iliya


Messages : 871
Date d'inscription : 16/08/2008
Age : 29
Localisation : Ailleurs.

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MessageSujet: Re: Daiki (enfin fini)   Daiki (enfin fini) Icon_minitimeMar 22 Fév - 19:40

J'ai pris un grand plaisir à lire ta fiche.
Je n'ai rien à redire.
Si un Admin a remarqué quelque chose que je n'ai pas vue je le laisse se prononcer... ^^

En attendant, je dis:
Fiche Validée!
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L'ombre
Admin Mutant
L'ombre


Messages : 463
Date d'inscription : 02/07/2008
Age : 32
Localisation : Dans la noirceur

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MessageSujet: Re: Daiki (enfin fini)   Daiki (enfin fini) Icon_minitimeMer 23 Fév - 14:42

Validééé ^^

Bienvenue sur le forum!
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MessageSujet: Re: Daiki (enfin fini)   Daiki (enfin fini) Icon_minitime

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